Lettre à l'Amour

«…

Je m’inspirerais de ses regards qui me fascinent…

Je m’inclinerais à ses yeux qui me subliment…

Ma flamme attisera nos âmes qui se pactise…

Ton souffle sur ma maîtrise aura de l’emprise…

En nos mains éprises, s’électrise, fraternise… »

«… 

Je marcherais à ton pas…

Pas à pas, fier de toi à mon bras…

Nos voix se déchirerons parfois…

Ces combats remueront en moi…

De très belles histoires…

Des blessures éternelles de mes déboires. »

«… 

Soit !

Confie-moi ta confiance en toi,

Défis tes lois,

Pour me suivre autant que tu me crois…

Tu me vois… »

« …

En Roi !

Ce que je ne m’estime pas ! »

« …

Pis… de toi !

L’Ange, qui veille sur moi…

De mes idées sombres…

Eclaire mon chemin dans l’ombre…

Grace à toi !

Je reste fidèle à toi… à moi…  

Tu as un toit à jamais en moi…

Ainsi qu’un droit…

D’auteur…

Sur l’histoire de mon cœur…

Sur le scénario de la vie…

Dans ces pages que l’on écrit…

Ensemble…

Ce récit entreprit…

Où se palpite nos corps au rythme émotifs…

Aux motifs exhaustifs de nos actions combatives…

Face à l’abondance de défis qui jalonne notre existence, ici. »

« …

Célébrons la vie que l’on défit ! Mon amie

Que l’on exauce son parcours pour toujours !  Mon amour…

Jusqu’à nos derniers jours…  

Que les jours de pluie nettoient nos âmes salis de nos drames…

Que les nuits d’été réchauffent nos corps à l’exalte…

De nos attraits de voluptés et de sensualité…

En tornade sentimentale naturelle…

Phénomène de nos êtres qui s’entremêlent…

S’amourache avec panache, émotion, passion…

Dans des gestes d’affection, de tendresse, d’obsession. »

« …

Nuances de nos actions…

Nos états d’âmes se succédant…

Au fil du temps…

Se consolident tantôt, se défrisant autant…

Parfois jusqu’à une rupture qui statut…

Fige une image en gravure…

Dans la mémoire communément divisée…

Les deux éléments s’étant séparés…

Ont finalisé leur œuvre ensemble, animés…

Comme au début ils l’avaient été…

Pour la dernière fois l’ont été. »

« …

Amour…

Si ces instants…

De gens…

Qui se sont épris ne serait qu’un moment…

Formaient des étoiles au firmament…

Le ciel serait infiniment plus flamboyant…

Au gré des paillettes d’argents…        

Nous,

Faisons de notre amours un soleil qui règne !

Brillons !

Sublimons nos âmes qui s’élèvent !

Donnons-leurs des couleurs plus chaleureuses !

Accordons-nous une paix existentielle plus prometteuse…

… Mon amoureuse. »